cifrado est un jeu de cartes sorti sur PC el 19 de octubre. Les deux joueurs, chacun à son tour, sont invites à poser jusqu’à quatre cartes de leur main sur le plateau de jeu : chacune représente un animal et est dotée d’un cierto nombre de caractéristiques (fuerza, puntos de vida, coût, et d’eventuels pouvoirs spéciaux). A la fin du tour, les animaux tapent sur les cartes qui leur font face – ou, faute de carte en défense, sur le joueur que l’on affronte, qui perd alors un point de vie. Le premier joueur qui a six points de vie de moins que son adversaire a perdu.
L’avis de Pixels
En un objetivo:
- un jeu de cartes facile a prendre en main ;
- les parties rapides et au challenge toujours renouvelé ;
- el humor omnipresente.
En un moins aimé :
- une realización voluntaria rugueuse à base de 3D moche et de resolución voluntaria old school qui flattent peu l’œil ;
- impossibilité de jouer à deux ;
- répétitif sur la fin.
C’est plutot pour vous si :
- de aimez les “TCG” (juegos de cartas coleccionables)ces jeux de cartes à échanger et à collectionner ;
- vous avez bien aimé Isla Ponyl’un des précédents jeux de Daniel Mullins ;
- vous aimez aller au delà des apparences.
Ce n’est plutôt pas pour vous si :
- Vous cherchez un jeu avec une profondeur tactique importante ;
- Vous n’avez pas de PC (le jeu n’est pas prévu sur console);
- vous avez peur de vous faire embarcar dans une adventure qui vous dépasse.
La nota de píxeles:
5 de trefle sur 9 de carreau
Vous êtes toujours là ?
Ça ne vous a pas suffi ?
Vous en êtes vraiment ciertas ?
Pourtant, on vous asegurar qu’il vaudrait mieux pour vous que ce test s’arrête là. Chaque mot de plus serait un mot de trop, divulgâchant le content d’un titre dont l’essentiel de l’intérêt tient en sa capacité à nous surprendre.
Más puisque vous insistez…
Si vous avez joué aux précédents titres de Daniel Mullins, vous savez que le Canadien aime – on nous pardonnera le jeu de mot – brouiller les cartes. Prenez pony islandia, por ejemplo, si inocente en apariencia: s’il commençait comme un simple jeu de course d’obstacle en ligne droite dans lequel on dirigeait un bébé licorne assez mignon, il déraillait rapidement pour aller loucher vers le jeu d’énigmes, le jeu de programación (il fallait «codificador» soi-même ses propres armes) et même, finalement, vers le jeu narratif.
On ne trahira donc pas de secrets en disant qu’cifrado resorts joue sur les memes. Contrairement à un TCG classique, le joueur n’est pas juste une main unknown qui abat des cartes. Car bientôt, entre dos manos, notre adversaire, une sorte de vieux sorcier drape dans une ombre dont n’emerge que son looking, s’adresse au personnage que l’on incarne pour lui proponer de faire une pause.
Des histoires pour se faire peur
Notre avatar lève alors les yeux de la table de jeu, avant d’embrasser la salle du looking. A sa gauche, des armes accrochées au mur. Derrière elle (notre heroes est une heroine), un vieux coucou suisse dont les trois aiguilles ne bougent plus. Un peu plus loin, un coffre-fort, des pièces d’échec en bois, une figurette de loup en cage, ou encore un tableaurepresentative deux cartes – toujours différentes à chaque fois qu’on le exame. Et puis, surtout, une porte solidement fermée.
Estreno sorpresa, primer mur brisé. Sobre s’aperçoit alors que l’heroïne d’cifrado ne joue pas qu’aux cartes : elle joue aussi sa vie. A la façon d’une sala de escape, la jeune femme est piégée dans une cabane où chaque objet est un outil qui lui permettra à terme de s’échapper. Et le jeu de cartes, auquel elle reviendra toujours, n’est au final qu’une énigme parmi d’autres.
Daniel Mullins n’aime rien tant que faire se rencontrer la gaudriole et l’horreur
A la imagen de Isla PonyCourse d’obstacle qui mute en jeu de programación, cifrado navegar entre el jeu de cartes, el escape room, el clon gentillet de Pokémon et le récit “meta”, multiplicant les return de status radicaux sans pour autant en oublier les microscopiques réinventions permanentes qui en font tout le sel et tout le génie comique.
Comme deja dans Isla Pony, Daniel Mullins n’aime rien tant que faire se rencontrer la gaudriole et l’horreur. Un cocktail a priori aventureux, dont l’humor resort systématiquement victorieux (il n’est pas rare d’éclater de rire devant son écran, fauché par une idée géniale ou une vanne bien troussée), mais qui permet au jeu de s’approprier et de régurgiter ciertas des mythologies des recoins obscurs d’Internet, les fameuses “creepy pasta”, don’t on ne sait jamais bien s’il s’agit d’histoires vraies ou de légendes qu’on se raconte pour se faire peur.
Au bout de, disons, une demi-douzaine d’heures, on finira par sortir de cette satanée cabane. Est-ce pour autant la fin du jeu? Ou ne serait-ce au contraire que le début d’une adventure qui va nous amener beaucoup, beaucoup plus loin ? Atención, le vrai revelación llegar : sachez que pour découvrir la “vraie” fin de l’histoire, ciertos joueurs ont eux aussi du, comme notre héroïne, lever les yeux de leur écran et sortir de chez eux. Des énigmes en poche et une pelle à la main, ils se sont lancés à l’assaut d’un jeu de piste qui n’a pas grand-chose à envier à la “chouette d’or” du Français Max Valentin.
Rassurez-vous, vous n’aurez pas besoin d’en arrivalr là pour vous amuser avec cifrado. Mais vous auriez tort de vous arrêter à sa simple apariencia de jeu de cartes.
La (vraie) nota de Pixels :
8 de corazón sobre 9 de piqué
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