Plonger en lo digital
Sans emploi, elle a commencé à travailler comme serveuse dans l’HORECA à Lieja. Un métier qu’elle n’a pas pu maintenir à l’arrivée de son garçon, Martin, en raison des horaires compliqués et decalés que la restauración imponen. “Con respecto a las formaciones del foro, creo que tiene acceso a uno de los dominios de la biotecnología. Étant donné que je suis océanographe, je me suis dit que ça pourrait m’interesser et my suis inscrite de façon naïve. Je ne savais pas à quoi ça pouvait aboutir. C’est là que j’ai appris à coder, et j’ai constaté que ça n’était pas si compliqué. De base, ça ne m’attirait pas, je ne savais même pas que ça existeit“, dit-elle.
C’est donc un petit peu par hasard, en 2016, qu’elle s’est retrouvée dans le bain de la tech, en codant. En faisant la formación, elle a observé que celle-ci menait à un cierto nombre de debouchés: “Je voulais absolute sortir du chômage et avoir un boulot pour avoir une belle vie. Je ne savais pas ce qu’il y avait derrière. Je l’ai decouvert au fur et à mesure“.
La formación ofrecida por el GIGA (Groupement Interdisciplinaire de Génoprotéomique Appliquée) y Le Forem dure quatre mois à temps plein, y proponen ensuite un stage deux mois. “Quand j’ai commencé à faire la formación, je ne peux pas dire que j’adorais. C’est en persévérant que j’ai eu envie de continuer à apprendre”.
“Au debut, j’ai un peu souffert parce que le langage était compliqué, mais en m’accrochant ça a été. Durant le stage, j’ai appris un autre langage: python, un langage de programación assez facile à comprendre pour des Personnes qui ne sont pas familiarisées avec l’informatique. Il faut dire que les ordinateurs et moi, au début, nous avions une relation spéciale. Ce n’était pas mon truc du tout“, sourit-elle.
Dans cette boîte, il y avait peu de femmes, et je recevais beaucoup de commentaires misogynes et fascistes de la part de mon manager.
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Au terme de son stage, on lui a proposé un CDI for devenir Business Data Analyst. Una experiencia qui lui fut compliquée. “J’ai beaucoup demenagé pour ce boulot. Dans cette boîte, il y avait peu de femmes, et je recevais beaucoup de commentaires misogynes et fascistes de la part de mon manager. Tout le monde rigolait à ses ‘blagues’. Lors d’une evaluación (qui s’est révélée bonne), je lui ai fait part de mon mécontentement. Un mois plus tard, il a utilisé un manque de flexibilité – car j’ai refusé d’aller travailler à Bruxelles parce que je devais garder mon fils à Liège – comme prétexte pour me licencier“, souligne-t-elle.
Son parcours a d’ailleurs pu être freiné parce qu’elle était mère celibataire. “J’ai dû rechazador des puestos de trabajo. Quand c’est la semaine avec mon fils, si je ne suis pas à 18 heures à l’école, elle ferme. C’est une question qu’on m’a posée dans les entretiens d’embauche et j’ai toujours été sincère“, hecho comentario la científica de datos.
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