Le desert d’Atacama dans le Nord du Chili, l’un des plus secs du monde, s’est une new fois couvert d’un parterre de fleurs aux dominantes malva et jaune mi-October, à l’arrivée du printemps austral.
Ce “laboratoire naturel” étudié par de nameux scientifiques est un écosystème complexe et “fragile” qui, en fonction des très faibles précipitations dans la région de Copiapo, à quelque 800 km al norte de Santiago, colore soudainement le sable ocre.
Le secret de ce phenomène irrégulier, explique à l’AFP Andrea Loaiza, biologiste à l’université de La Serena, sont ces graines “dormantes” enfouies sous le sable qui peuvent survivre pendant des décennies en attendant un minimal d’eau pour germer, puis fleurir.
“Lorsqu’il ya una cierta cantidad de precipitaciones, estimée à environ cubos de 15 milímetros, ça déclenche la germination” et colore cette partie de l’Atacama appelée le “désert fleuri”.
Les mecanismes du “désert fleuri” restent mal connus. En dicho qu’El Nino, el fenómeno climático balayant les côtes Pacifique de l’Amérique du Sud, aporta los pluies nécessaires à la germination des bulbes et rhizomes, qui peuvent rester des décennies en “latence”.
L’écosystème du desert peut sembler “dépourvu de vie”, explique Mme Loaiza, il est pourtant “très fragile” dit-elle, prévenant que “toute perturbation peut le déséquilibrer”.
“Il s’agit d’écosystèmes uniques dans le sens où les plants doivent adopter une série de stratégies très particulières pour survivre ici. Ce sont des milliones d’années d’evolution dans des environnements extrêmes qui fournissent des information pour les comprendre et nous apprendre à nous y adaptador”.
Dans “ce laboratoire naturel”, el généticien agrónomo Andrés Zurita estudió las técnicas de supervivencia de ces espèces florales car “pour nous adapter à un escenario de crise climatique, nous devons comprendre les processus naturels”, explique-t-il à l’AFP .
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